Princesse Brambilla. Un caprice dans la manière de Jacques Callot (en  Traducción - Princesse Brambilla. Un caprice dans la manière de Jacques Callot (en  español cómo decir

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Princesse Brambilla. Un caprice dans la manière de Jacques Callot (en allemand, Prinzessin Brambilla. Ein Capriccio nach Jakob Callot) est un roman allemand paru en 1820 à Berlin. Œuvre de l'écrivain romantique Ernst Theodor Amadeus Hoffmann, il tire son inspiration de huit gravures de Jacques Callot intitulées les Balli di Sfessania.

Le caprice (capriccio en italien) désigne à l'origine une forme picturale créée en 1617 par Jacques Callot pour Cosme II de Médicis, qu'il intitule Capriccii di varie figure; elle représente des éléments architecturaux disposés de manière très libre et fantaisiste. Le terme est également courant en musique pour évoquer une série d'improvisations et dans la critique littéraire pour exprimer la liberté prise par l'écrivain humoristique1.

L'ouvrage fait également référence aux comédies de Carlo Gozzi, en particulier L'Amour des trois oranges, qui étaient particulièrement goûtées des romantiques allemands.Le roman se déroule à Rome au xviiie siècle pendant le carnaval, moment où l'ordre est temporairement suspendu et où les identités se confondent sous les masques. Dans le premier chapitre, Giglio Fava, un médiocre comédien, joue le rôle du prince Taer dans la pièce de Gozzi, Le Monstre turquin, et raconte un rêve dans lequel une princesse lui déclarait sa flamme. Sa fiancée, cependant, Giacinta Soarti, une jolie couturière, se lamente sur sa pauvreté, alors qu'elle est en train de mettre la main à une robe magnifique destinée à un client inconnu. Obsédés l'un et l'autre par des rêves romantiques, leur vive imagination les amène à confondre leurs fantaisies avec la réalité. Ils en viennent ainsi à assumer une seconde vie, sous la forme de la princesse Brambilla et de son amant le prince assyrien Cornelio Chiapperi, aidés en cela par la magie du charlatan Celionati, qui donne en outre à Giglio une leçon de comédie, corrigeant son jeu pompeux et déclamatoire, que sa vanité l'empêchait de voir. Sous son influence, de même, Giglio et Giacinta s'éprennent respectivement de la princesse Brambilla et du prince assyrien Cornelio1.

Grâce à Celionati, le jeu de Giglio s'est grandement amélioré. Toutefois, l'abbé Chiari, concurrent de Gozzi, décrit comme un auteur de pièces indigestes, persuade Giglio de se méfier de Celionati. Retombant sous son influence dans son ancienne vanité, il se rend au palais Pistoia, vêtu en prince, à la recherche de la princesse Brambilla. Toutefois, il est arrêté et enfermé dans une cage à une fenêtre du palais comme « écervelé » (Gelbschnabel en allemand, qui désigne aussi bien un oiselet qu'un nigaud)1.

Leur histoire se confond au chapitre 3 avec le récit de l'histoire du roi Ophioch et de la reine Liris, dans le royaume d'Urdar, qui, comme dans Le Vase d'or, renvoie au mythe romantique de l'harmonie originelle de l'homme avec la nature; après leur mort, Urdar tombe entre les mains des philosophes, allusion à l'Aufklärung, honnie des romantiques, dont le rationalisme ne permet plus aux habitants de comprendre le langage de la princesse Mystilis, leur fille, incarnation de la poésie. Trompée par un imposteur, celle-ci est enfermée sous la forme d'une minuscule poupée de procelaine. Les dames de la cour réalisent un filet dans lequel elles prennent un oiseau criard, en qui Giglio se reconnaît1.

Quand la transformation opérée par Celionati est complète, Giglio et Giacinta sont transportés à Urdar, regardent dans le lac, dans lequel ils se voient pour la première fois tels qu'ils sont en fait; il éclatent de rire et s'embrassent. Mystilis renaît alors d'un lotus sous la forme d'une géante, les pieds sur le sol maternel et la tête dans les cieux, incarnation du triomphe de la poésie1.

À la fin, Giglio et Giacinta, à présent l'un et l'autre comédiens, connaissent le bonheur domestique et la prospérité, grâce à Celionati, qui se révèle finalement être le prince Bastianello di Pistoia.
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La princesa Brambilla. Una peculiaridad en la manera de Jacques Callot (en alemán, Prinzessin Brambilla. Ein Capriccio nach Jakob Callot) es una novela alemana Publicada en 1820 en Berlín. Œuvre del escritor romántico Ernst Theodor Amadeus Hoffmann, extrae su inspiración de ocho grabados de Jacques Callot titulado la Balli di Sfessania.Caprice (capricho en Italiano) es originalmente una forma pictórica creada en 1617 por Jacques Callot a Cosimo II de Medici, que tituló Capriccii di varía la figura; Representa elementos arquitectónicos dispuestos en una muy libre y fantasiosa. El término es también común en la música para evocar una serie de improvisaciones y de crítica literaria para expresar la libertad tomada por la humoristique1 de escritor.L'ouvrage fait également référence aux comédies de Carlo Gozzi, en particulier L'Amour des trois oranges, qui étaient particulièrement goûtées des romantiques allemands.Le roman se déroule à Rome au xviiie siècle pendant le carnaval, moment où l'ordre est temporairement suspendu et où les identités se confondent sous les masques. Dans le premier chapitre, Giglio Fava, un médiocre comédien, joue le rôle du prince Taer dans la pièce de Gozzi, Le Monstre turquin, et raconte un rêve dans lequel une princesse lui déclarait sa flamme. Sa fiancée, cependant, Giacinta Soarti, une jolie couturière, se lamente sur sa pauvreté, alors qu'elle est en train de mettre la main à une robe magnifique destinée à un client inconnu. Obsédés l'un et l'autre par des rêves romantiques, leur vive imagination les amène à confondre leurs fantaisies avec la réalité. Ils en viennent ainsi à assumer une seconde vie, sous la forme de la princesse Brambilla et de son amant le prince assyrien Cornelio Chiapperi, aidés en cela par la magie du charlatan Celionati, qui donne en outre à Giglio une leçon de comédie, corrigeant son jeu pompeux et déclamatoire, que sa vanité l'empêchait de voir. Sous son influence, de même, Giglio et Giacinta s'éprennent respectivement de la princesse Brambilla et du prince assyrien Cornelio1.Grâce à Celionati, le jeu de Giglio s'est grandement amélioré. Toutefois, l'abbé Chiari, concurrent de Gozzi, décrit comme un auteur de pièces indigestes, persuade Giglio de se méfier de Celionati. Retombant sous son influence dans son ancienne vanité, il se rend au palais Pistoia, vêtu en prince, à la recherche de la princesse Brambilla. Toutefois, il est arrêté et enfermé dans une cage à une fenêtre du palais comme « écervelé » (Gelbschnabel en allemand, qui désigne aussi bien un oiselet qu'un nigaud)1.Leur histoire se confond au chapitre 3 avec le récit de l'histoire du roi Ophioch et de la reine Liris, dans le royaume d'Urdar, qui, comme dans Le Vase d'or, renvoie au mythe romantique de l'harmonie originelle de l'homme avec la nature; après leur mort, Urdar tombe entre les mains des philosophes, allusion à l'Aufklärung, honnie des romantiques, dont le rationalisme ne permet plus aux habitants de comprendre le langage de la princesse Mystilis, leur fille, incarnation de la poésie. Trompée par un imposteur, celle-ci est enfermée sous la forme d'une minuscule poupée de procelaine. Les dames de la cour réalisent un filet dans lequel elles prennent un oiseau criard, en qui Giglio se reconnaît1.Quand la transformation opérée par Celionati est complète, Giglio et Giacinta sont transportés à Urdar, regardent dans le lac, dans lequel ils se voient pour la première fois tels qu'ils sont en fait; il éclatent de rire et s'embrassent. Mystilis renaît alors d'un lotus sous la forme d'une géante, les pieds sur le sol maternel et la tête dans les cieux, incarnation du triomphe de la poésie1.À la fin, Giglio et Giacinta, à présent l'un et l'autre comédiens, connaissent le bonheur domestique et la prospérité, grâce à Celionati, qui se révèle finalement être le prince Bastianello di Pistoia.
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La princesa Brambilla.Un Carlo Jacques caprichosa (640 prinzessin asteroides en Alemania.Un capriccio en Jacob Carlo) es una película alemana de Berlín publicado en 1820.Un verdadero romántico escritor e. T. A. Hoffman, llegó a ocho grabados de inspiración para el sfessania Jacques Carlo

.Capriccio (canción capriccio italiano) es la forma de patrón que fue creado inicialmente como segundo 1617 Jacques Carlo cosimo Medici, se dice que la variación en capriccii di; es una fantasía de elementos arquitectónicos muy libre.El término también se refiere a la corriente de la música de improvisación en una serie de Escritores de la libertad de expresión y la crítica literaria humoristique1.

también se refiere a la comedia de Carlo Gozzi, especialmente el amor de las tres naranjas, especialmente productos de romanticismo alemán.La novela tiene lugar en el carnaval de Roma durante el siglo XVIII, cuando la orden de suspender la máscara de confusión de identidad.La isla de haba en el primer capítulo, el actor interpreta a Tulsa, mediocre, en Gozzi cuarto príncipe de mármol azul, monstruo, narra la historia de un sueño, dijo la llama princesa.Sin embargo, su prometida,Soarti giacinta, un sastre de mujer bonita, de luto por la muerte de su pobreza, así que los clientes con un desconocido y ella con un vestido hermoso.El sueño romántico el uno para el otro, su imaginación se pueden confundir fantasía y realidad.Se asume así una segunda vida,
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